Les suites de hits qui font pschitt !
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Re: Les suites de hits qui font pschitt !
C'est sa présence sur le premier Dance Machine qui pu faire connaître ce titre, parce que sinon...
Cette semaine, on change de Johnson !
Je ne crois pas que Marcia et Orlando Johnson aient un quelconque lien de parenté, ce dernier est cependant le mari d'une autre chanteuse ayant donc comme nom Johnson qu'on a pu croiser aussi dans les 80's et les 90's, Patty (Let Me Go, par exemple en 92/93).
Orlando Johnson, c'est un américain établi en Italie, il a d'ailleurs pris la nationalité italienne également. Il est passé un peu par toutes les modes, le disco dès la fin des 70's, le funk, l'italo-disco, et ce pour quoi on le connaît le mieux, l'interprétation des hits de Secchi (évoqué ici y a pas longtemps) au début des années 90.
Il a profité de la période pour relancer sa carrière solo furtivement avec Whatever You Do en 92, un titre classé chez nous dans le HDC et produit toujours par Secchi.
Pour la suite en revanche, ça a été le néant... You la même année c'est passé à l'as, tout comme son featuring en 93 pour Massimino (Take Me Away) et ceux d'après de nouveau en solo, un single par an : Give It Up en 94, Shine On Me en 95, et Never Be THe Same (là, en Feat. De PM2) en 96.
Il est resté populaire en Italie, il n'a jamais cessé de faire d'autres featurings de façon régulière. Et tout aussi régulièrement, il a proposé de nouvelles versions de I Say Yeah. Un de ses derniers titres sortis est Close To Me pour Frank Carpentieri, sorti l'an dernier. Et à part ça, il est le chanteur principal de la version italienne de Danse Avec Les Stars !
Cette semaine, on change de Johnson !
Orlando Johnson
Je ne crois pas que Marcia et Orlando Johnson aient un quelconque lien de parenté, ce dernier est cependant le mari d'une autre chanteuse ayant donc comme nom Johnson qu'on a pu croiser aussi dans les 80's et les 90's, Patty (Let Me Go, par exemple en 92/93).
Orlando Johnson, c'est un américain établi en Italie, il a d'ailleurs pris la nationalité italienne également. Il est passé un peu par toutes les modes, le disco dès la fin des 70's, le funk, l'italo-disco, et ce pour quoi on le connaît le mieux, l'interprétation des hits de Secchi (évoqué ici y a pas longtemps) au début des années 90.
Il a profité de la période pour relancer sa carrière solo furtivement avec Whatever You Do en 92, un titre classé chez nous dans le HDC et produit toujours par Secchi.
Pour la suite en revanche, ça a été le néant... You la même année c'est passé à l'as, tout comme son featuring en 93 pour Massimino (Take Me Away) et ceux d'après de nouveau en solo, un single par an : Give It Up en 94, Shine On Me en 95, et Never Be THe Same (là, en Feat. De PM2) en 96.
Il est resté populaire en Italie, il n'a jamais cessé de faire d'autres featurings de façon régulière. Et tout aussi régulièrement, il a proposé de nouvelles versions de I Say Yeah. Un de ses derniers titres sortis est Close To Me pour Frank Carpentieri, sorti l'an dernier. Et à part ça, il est le chanteur principal de la version italienne de Danse Avec Les Stars !
moratto- Coctomaniaque
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Re: Les suites de hits qui font pschitt !
Cette semaine, on verra si ça inspire plus de monde que la semaine dernière, place à...
Rien à voir avec un célèbre agent immobilier télévisuel ou un hôtel, c'est un groupe belge du début des 90's produit par Fonny De Wulf (à ne pas confondre avec Frank De Wulf comme je l'ai fait pendant un temps !), qui a produit quelques autres trucs plus ou moins connus dont I'm Raving pour L.A. Style.
Les performers étaient les clones de Confetti's, et le projet se distinguait surtout pour un choix de titres mettant en valeur une grande recherche, une grande spiritualité : Yo-Yo, O-Oh, Hi De Ho puis Hey Hey Hey.
En France on a préféré s'arrêter là, craignant le pire pour la suite, mais au Bénélux, ça a continué jusqu'en 97 ! C'est con parce que pour les titres, ça s'était un peu arrangé après... mais le reste ne suivait plus franchement. En 91, un dernier titre nommé Samba tentait de placer un côte brésilien... En 92, We Want More surfait sur les sonorités techno de l'époque. En 94, Do You Want Me sonnait logiquement plus eurodance, en 95 Come On Let's Go se rapprochait du happy hardcore à la Party Animals. Deux ultimes singles en 97, et l'affaire était classée.
Plaza
Rien à voir avec un célèbre agent immobilier télévisuel ou un hôtel, c'est un groupe belge du début des 90's produit par Fonny De Wulf (à ne pas confondre avec Frank De Wulf comme je l'ai fait pendant un temps !), qui a produit quelques autres trucs plus ou moins connus dont I'm Raving pour L.A. Style.
Les performers étaient les clones de Confetti's, et le projet se distinguait surtout pour un choix de titres mettant en valeur une grande recherche, une grande spiritualité : Yo-Yo, O-Oh, Hi De Ho puis Hey Hey Hey.
En France on a préféré s'arrêter là, craignant le pire pour la suite, mais au Bénélux, ça a continué jusqu'en 97 ! C'est con parce que pour les titres, ça s'était un peu arrangé après... mais le reste ne suivait plus franchement. En 91, un dernier titre nommé Samba tentait de placer un côte brésilien... En 92, We Want More surfait sur les sonorités techno de l'époque. En 94, Do You Want Me sonnait logiquement plus eurodance, en 95 Come On Let's Go se rapprochait du happy hardcore à la Party Animals. Deux ultimes singles en 97, et l'affaire était classée.
moratto- Coctomaniaque
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Re: Les suites de hits qui font pschitt !
Yo-Yo et O-Oh, j'adorais même si j'avais un peu honte.
De mémoire, RLP les taillait sur la "grande spiritualité" comme tu dis des titres et des paroles.
Mike je crois ne les jouait même pas, ce qui fait que j'ai galéré pour réussir à enregistrer O-Oh.
Des quatre titres suivants que tu nous proposes, seul We Want More me donne envie de mettre la main sur le maxi.
De mémoire, RLP les taillait sur la "grande spiritualité" comme tu dis des titres et des paroles.
Mike je crois ne les jouait même pas, ce qui fait que j'ai galéré pour réussir à enregistrer O-Oh.
Des quatre titres suivants que tu nous proposes, seul We Want More me donne envie de mettre la main sur le maxi.
DAVE- Ancêtre
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Date d'inscription : 30/04/2006
Re: Les suites de hits qui font pschitt !
Je pense que Samba aura enterré le projet chez nous, à la fois différent onomatopéiquement (j'ai vérifié, ça se dit ) des autres car pour une fois on avait de vrais mots (même si aussi simplistes que "Samba" et "Caramba") mais également musicalement et c'est dommage en effet car la suite était plus prometteuse. Mais en France, on n'aime pas trop le changement et ça s'est vérifié plusieurs fois, on adhère à un clone tout naze du premier titre mais dès qu'il y a innovation, ça part aux oubliettes...
Ceci étant, je rejoins DAVE, We Want More se détache nettement.
Ceci étant, je rejoins DAVE, We Want More se détache nettement.
Re: Les suites de hits qui font pschitt !
(ce que j'en dis ) O-oh o-oh Lalala...lala...lala
MIKA- Coctomaniaque
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Localisation : Quoi le système ? ba GPS
Emploi : Commercial
Loisirs : Mix, sex and drive...and sun aussi..quoi que sea c'est pas mal !!!)))
Re: Les suites de hits qui font pschitt !
J'aimais beaucoup aussi Plaza en 1990, après disons que ça finissait par lasser quelque peu ! Le We Want More a aussi ma préférence parmi les ultérieurs, musicalement en tous cas.
Pour terminer ce cycle (retour dans les années 2000 la semaine prochaine !) une one hit wonder de la fin des 80's :
On ne connaît pas grand chose de cette chanteuse hollandaise qui a eu un seul hit international en 1988 avec un titre souvent samplé, A Little Love (What's Going On). Ce titre très très influencé par les prods Stock / Aitken / Waterman de l'époque venait donc des Pays-Bas, et les mixes étaient finalisés par le principal artisan du genre à l'époque venant du pays des tulipes : Ben Liebrand !
Mais There's No Stopping My Heart, un single exclusif à la France sorti en 89, n'a pas permis de renouveler la performance, même si Mr Liebrand était toujours aux manettes. C'était également le cas pour He's So Divine, sorti la même année, où il délivrait aussi un remix Acid House que je propose ici.
Ceejay est revenue une ultime fois en 91 pour deux titres, un en solo (Let's Do It Again) et un featuring pour Ben Liebrand (Give Me An Answer), les deux étant inconnus chez nous.
Comme samedi prochain et le suivant, on sera le 24 et le 31, l'update des topics sera plus vraisemblablement le jeudi ou le vendredi, on verra ça.
Pour terminer ce cycle (retour dans les années 2000 la semaine prochaine !) une one hit wonder de la fin des 80's :
Ceejay
On ne connaît pas grand chose de cette chanteuse hollandaise qui a eu un seul hit international en 1988 avec un titre souvent samplé, A Little Love (What's Going On). Ce titre très très influencé par les prods Stock / Aitken / Waterman de l'époque venait donc des Pays-Bas, et les mixes étaient finalisés par le principal artisan du genre à l'époque venant du pays des tulipes : Ben Liebrand !
Mais There's No Stopping My Heart, un single exclusif à la France sorti en 89, n'a pas permis de renouveler la performance, même si Mr Liebrand était toujours aux manettes. C'était également le cas pour He's So Divine, sorti la même année, où il délivrait aussi un remix Acid House que je propose ici.
Ceejay est revenue une ultime fois en 91 pour deux titres, un en solo (Let's Do It Again) et un featuring pour Ben Liebrand (Give Me An Answer), les deux étant inconnus chez nous.
Comme samedi prochain et le suivant, on sera le 24 et le 31, l'update des topics sera plus vraisemblablement le jeudi ou le vendredi, on verra ça.
moratto- Coctomaniaque
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Date d'inscription : 11/07/2005
Re: Les suites de hits qui font pschitt !
On repart dans les années 2000, mais avec un projet plus connu à la fin des 90's, c'est...
Kleph est le pseudo de Marie-France De Mascolo, interprète transgenre connu(e) en 1995 avec le projet Kleph & Lock initié par Christophe Monnier. Ce dernier a ensuite travaillé avec les producteurs de Tribal Nation, Rick Pier O'Neil et Stevie H. Tout ce petit monde s'est donc réuni pour former à partir de l'été 96 le projet Sequential.
Quatre titres proches les uns des autres ont constitué son succès jusqu'à l'an 2000 : Chuppa Me, Chocho Loco, La Festa et dans une moindre mesure Time For Happiness en 2000. On peut rajouter en 2002 Que Lindo, le reload de Chuppa Me. La pente était quand même déclinante, elle a fini par l'être trop pour le HDC en 2004 avec Quitamela, sorti par le seul O'Neil sur son propre label. En 2008 / 2009, ce dernier a tenté de proposer de nouvelles versions de Chuppa Me et Chocho Loco, mais le temps de Sequential était bel et bien passé.
Sequential Feat. Kleph
Kleph est le pseudo de Marie-France De Mascolo, interprète transgenre connu(e) en 1995 avec le projet Kleph & Lock initié par Christophe Monnier. Ce dernier a ensuite travaillé avec les producteurs de Tribal Nation, Rick Pier O'Neil et Stevie H. Tout ce petit monde s'est donc réuni pour former à partir de l'été 96 le projet Sequential.
Quatre titres proches les uns des autres ont constitué son succès jusqu'à l'an 2000 : Chuppa Me, Chocho Loco, La Festa et dans une moindre mesure Time For Happiness en 2000. On peut rajouter en 2002 Que Lindo, le reload de Chuppa Me. La pente était quand même déclinante, elle a fini par l'être trop pour le HDC en 2004 avec Quitamela, sorti par le seul O'Neil sur son propre label. En 2008 / 2009, ce dernier a tenté de proposer de nouvelles versions de Chuppa Me et Chocho Loco, mais le temps de Sequential était bel et bien passé.
moratto- Coctomaniaque
- Age : 45
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Date d'inscription : 11/07/2005
Re: Les suites de hits qui font pschitt !
J'avais bien aimé Chuppa Me et La Festa, nettement moins Chocho Loco, et le 4ème je ne le connaissais même pas.
C'était un projet quand même assez inégal, j'ai l'impression que musicalement, parfois Tribal Nation avait plus d'influence et d'autres fois c'était O'Neil et Stevie H, ce qui fait que c'était globalement moins bon.
C'était un projet quand même assez inégal, j'ai l'impression que musicalement, parfois Tribal Nation avait plus d'influence et d'autres fois c'était O'Neil et Stevie H, ce qui fait que c'était globalement moins bon.
Re: Les suites de hits qui font pschitt !
Y a pas trop trop d'influence de Tribal Nation sur Sequential pourtant, c'est plutôt les singles de Sequential qui ont tous une influence sur les... autres singles de Sequential !
Cette semaine, je n'avais pas "teasé", car c'était une surprise, et même une...
Ce projet apparu à la fin de l'année 1998 et dont la chanteuse était Georgia Jones, apparue dans quelques prods club au succès globalement mineur dans les 90's, c'était aussi de ceux dont on a pu entendre un titre à fond pendant quelques semaines, et après, plus rien du tout... Le titre en question, c'était On The Top Of The World, qui profitait une nouvelle fois de la notoriété de Y.M.C.A, à peine plus de deux ans après It's A Shame de B-One qui avait fait la même chose.
Derrière ce projet de Diva Surprise, certainement pas des débutants : le DJ italien star à Ibiza depuis que c'est le lieu incontournable de la fête en Europe, Giuseppe Nuzzo aka DJ Pippi. Et Walter Taïeb, une vieille connaissance sous le pseudo d'Eddy Beatboxking, responsable au début des 90's des premiers hits de Rozlyne Clarke, Indra ou Beckie Bell, puis de The Original (I Luv U Baby) quelques temps après.
Ces deux-là avaient déjà signé un titre ayant fait plutôt parler de lui en 96, Over & Over sous le nom de Plux. Et la chanteuse en était déjà Georgia Jones.
En 99, la suite de On The Top Of The World s'est tapée un tel bide qu'il n'y en a plus jamais eu d'autre : But I Still Love You empruntait pourtant lui aussi la recette du titre basé sur une mélodie aisément reconnaissable, celle de Ain't No Stoppin' Us Now. Mais au bout de la deuxième fois, ce n'était plus une surprise... en bonus, un remix de On The Top Of The World, celui de The Sharp Boys. La suite en 2017 !
Cette semaine, je n'avais pas "teasé", car c'était une surprise, et même une...
Diva Surprise
Ce projet apparu à la fin de l'année 1998 et dont la chanteuse était Georgia Jones, apparue dans quelques prods club au succès globalement mineur dans les 90's, c'était aussi de ceux dont on a pu entendre un titre à fond pendant quelques semaines, et après, plus rien du tout... Le titre en question, c'était On The Top Of The World, qui profitait une nouvelle fois de la notoriété de Y.M.C.A, à peine plus de deux ans après It's A Shame de B-One qui avait fait la même chose.
Derrière ce projet de Diva Surprise, certainement pas des débutants : le DJ italien star à Ibiza depuis que c'est le lieu incontournable de la fête en Europe, Giuseppe Nuzzo aka DJ Pippi. Et Walter Taïeb, une vieille connaissance sous le pseudo d'Eddy Beatboxking, responsable au début des 90's des premiers hits de Rozlyne Clarke, Indra ou Beckie Bell, puis de The Original (I Luv U Baby) quelques temps après.
Ces deux-là avaient déjà signé un titre ayant fait plutôt parler de lui en 96, Over & Over sous le nom de Plux. Et la chanteuse en était déjà Georgia Jones.
En 99, la suite de On The Top Of The World s'est tapée un tel bide qu'il n'y en a plus jamais eu d'autre : But I Still Love You empruntait pourtant lui aussi la recette du titre basé sur une mélodie aisément reconnaissable, celle de Ain't No Stoppin' Us Now. Mais au bout de la deuxième fois, ce n'était plus une surprise... en bonus, un remix de On The Top Of The World, celui de The Sharp Boys. La suite en 2017 !
moratto- Coctomaniaque
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