Jeux vidéo
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Re: Jeux vidéo
T'inquiète, t'es pas le seul C'est normal, elle était très peu connu.
C'était pas évident pour elle de s'imposer, déjà parce-qu'elle est arriver
en plein carton de la Super Nintendo et la Mégadrive. Ensuite elle s'est fait
bouffer par la Playstation et la Saturn. et en plus les bons jeux dessus
se compte sur les doigts de la main, et pour finir, à part aux États-Unis,
y'avait pas de pubs promotionnelles. Dur dur pour le félin
On peut voir la console dans cette vidéo de présentation:
http://www.jeuxvideo.tv/voici-le-fauve-l-atari-jaguar-video-295042.html
C'était pas évident pour elle de s'imposer, déjà parce-qu'elle est arriver
en plein carton de la Super Nintendo et la Mégadrive. Ensuite elle s'est fait
bouffer par la Playstation et la Saturn. et en plus les bons jeux dessus
se compte sur les doigts de la main, et pour finir, à part aux États-Unis,
y'avait pas de pubs promotionnelles. Dur dur pour le félin
On peut voir la console dans cette vidéo de présentation:
http://www.jeuxvideo.tv/voici-le-fauve-l-atari-jaguar-video-295042.html
Malik- Fondateur
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Re: Jeux vidéo
merci j'en sais un peu + sur cette console .
J'adore la derniere pub
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gsxrvince- Ancêtre
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Re: Jeux vidéo
Maintenant que c'est lancer, on continue avec les consoles de la loose
Tout comme Atari et sa Jaguar, Commodore s'essaye dans les consoles avec l'Amiga CD32.
La plupart des anciens joueurs de jeux vidéos connaissait l'excellente réputation des ordinateurs Atari St et surtout Amiga. Gage de qualité, ces ordinateurs était à la pointe de la technologie.
Par contre, peu connaissent la tentative d'incursion d'Amiga dans le monde des consoles de salon.
Cette fois il s'agit de la première 32-bit à voir le jour en occident. Commercialisées en 1993 dans la même période que la Jaguar, la CD32 n'est pas parvenu non plus à percer sur le marché malgré le soutien des fans de la gamme Amiga. Ses limitations techniques, le manque d'implication des développeurs et les difficultés financières de Commodore sont autant d'explications de son échec.
De plus Commodore ne se fatigue pas trop sur le coup:
Le CD32 est en fait un ordinateur Amiga 1200 sans clavier, et le lecteur de disquette est remplacé par un lecteur de CDRom. Le pad n'est pas du tout étudié pour le jeu vidéo et se révèle peu pratique.
Avec un processeur 68020 à 14Mhz l'Amiga CD32 propose dès sa sortie une technologie déjà en bout de course, beaucoup trop limitée pour la 3D. Les jeux proposés ne sont ni plus ni moins que des jeux Amiga 500 vaguement améliorés voire totalement identiques, qui bien souvent ne proposent pas un aussi bon gameplay que les jeux consoles… L’absence d’éditeurs japonais se fait cruellement sentir ! De même les capacités de stockage du CDRom ne sont pas réellement exploitées dans la plupart des jeux. Il y a certes des adaptations de titres cultes sur Amiga comme Alien Breed, Defender of the Crown, Project-X, Zool, Frontier Elite, etc... mais qui n'offrent vraiment aucun avantage par rapport à la version micro. Et il faut dire que les jeux disquettes de l'Amiga ont été tellement piratés que peu de gens sont près à payer pour une version CD !
A 2490F le prix de lancement fût bien trop élevé. Commodore ne remplira même pas la moitié de ses objectifs de vente. En 1994, avec sa gamme de micro-ordinateurs dépassée par les PC et des ventes de CD32 très mauvaises Commodore est placé en faillite. L'arrivée des monstres que sont la Saturn et la Playstation n'aura pas facilité son incursion dans le monde des consoles.
Tout comme Atari et sa Jaguar, Commodore s'essaye dans les consoles avec l'Amiga CD32.
La plupart des anciens joueurs de jeux vidéos connaissait l'excellente réputation des ordinateurs Atari St et surtout Amiga. Gage de qualité, ces ordinateurs était à la pointe de la technologie.
Par contre, peu connaissent la tentative d'incursion d'Amiga dans le monde des consoles de salon.
Cette fois il s'agit de la première 32-bit à voir le jour en occident. Commercialisées en 1993 dans la même période que la Jaguar, la CD32 n'est pas parvenu non plus à percer sur le marché malgré le soutien des fans de la gamme Amiga. Ses limitations techniques, le manque d'implication des développeurs et les difficultés financières de Commodore sont autant d'explications de son échec.
De plus Commodore ne se fatigue pas trop sur le coup:
Le CD32 est en fait un ordinateur Amiga 1200 sans clavier, et le lecteur de disquette est remplacé par un lecteur de CDRom. Le pad n'est pas du tout étudié pour le jeu vidéo et se révèle peu pratique.
Avec un processeur 68020 à 14Mhz l'Amiga CD32 propose dès sa sortie une technologie déjà en bout de course, beaucoup trop limitée pour la 3D. Les jeux proposés ne sont ni plus ni moins que des jeux Amiga 500 vaguement améliorés voire totalement identiques, qui bien souvent ne proposent pas un aussi bon gameplay que les jeux consoles… L’absence d’éditeurs japonais se fait cruellement sentir ! De même les capacités de stockage du CDRom ne sont pas réellement exploitées dans la plupart des jeux. Il y a certes des adaptations de titres cultes sur Amiga comme Alien Breed, Defender of the Crown, Project-X, Zool, Frontier Elite, etc... mais qui n'offrent vraiment aucun avantage par rapport à la version micro. Et il faut dire que les jeux disquettes de l'Amiga ont été tellement piratés que peu de gens sont près à payer pour une version CD !
A 2490F le prix de lancement fût bien trop élevé. Commodore ne remplira même pas la moitié de ses objectifs de vente. En 1994, avec sa gamme de micro-ordinateurs dépassée par les PC et des ventes de CD32 très mauvaises Commodore est placé en faillite. L'arrivée des monstres que sont la Saturn et la Playstation n'aura pas facilité son incursion dans le monde des consoles.
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Re: Jeux vidéo
Jamais joué avec cette console mais je la connais de nom...
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Re: Jeux vidéo
Moi pareil, mais elle me tente pas plus que ça.
J'aimerais juste l'essayer par curiosité, c'est tout.
Ce qu'il y a de bien c'est qu'on peut la trouver en occasion pour moins de 100€.
Et comme il y a pas de protection, c'est hyper simple de graver les jeux.
J'aimerais juste l'essayer par curiosité, c'est tout.
Ce qu'il y a de bien c'est qu'on peut la trouver en occasion pour moins de 100€.
Et comme il y a pas de protection, c'est hyper simple de graver les jeux.
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Re: Jeux vidéo
Cette fois on va vraiment se marrer avec la prochaine loose.
Avec Amstrad et sa GX4000 c'était vraiment du foutage de gueule.
Au milieu des années 80 Amstrad connait un immense succès en Europe avec ses micro-ordinateurs de la gamme 8 bits CPC. Cependant ils vont vite être dépassés par la nouvelle vague 16/32 bits
(Atari ST et Amiga). En perte de vitesse, et face à la renaissance des consoles de jeux,
Amstrad décide alors de se lancer et sort une console de jeux... 8 bits... en 1990 ! Si si...
Ca sera la GX4000 ! Elle coutera 990F et sera accompagnée de 2 pads et du jeu Burnin' Rubbler. Amstrad y croit dur comme fer: un budget publicitaire de 200 millions de francs est prévu et ils pensent pouvoir vendre 200 000 consoles pour la fin 90.
La console 8 bits la plus nulle de l'histoire !
Une GX4000 c'est en fait un Amstrad CPC+ (deja complétement depassé en 1990 !) sans clavier... Ou si vous préférez un Amstrad CPC464 de 1984 avec quelques améliorations minimes:
32 couleurs parmi 4096, 16 sprites et un scrolling hardware ! Et bien sur toujours le fameux processeur Z80A et la fameuse définition graphique de 160x200 pixels !
Si vous aimez les "gros pixels" il vous faut absolument cette console !
Fin 1990 une console si faible techniquement fait vraiment un peu désordre et Amstrad perd toute sa crédibilité. De plus les jeux qui sortent ne montrent quasiment aucune différences avec l'Amstrad CPC de base. Nous sommes à peine au niveau de la NES (datant de 1983 !) qui offre même des graphismes plus fins et des jeux bien plus passionnants !
"High Performance Games Console" Vraiment très osé de la part de Amstrad !
A.M.Sugar (le patron de Amstrad) ira même jusqu'à déclarer vouloir battre SEGA,
la GX4000 étant selon lui au moins aussi puissante que la Megadrive ! Bien sur...
Sur certaines publicités on pourra même lire "L'arcade à domicile"...
Ils prenaient vraiment les joueurs pour des cons !
Que leur est-il passé par la tête ? Incompétence des dirigeants ? Certes, mais certains pensent aussi que Amstrad avait déjà décidé d'abandonner le monde de la micro-informatique et que la GX4000 n'était là que pour écouler les stocks de composants de la gamme CPC+.
Toujours est-il que c'est un BIDE complet et le début de la fin pour Amstrad. Moins de 15 000 consoles seront vendues en 6 mois. La console sera soldée à 690F mais ne décollera jamais.
40 000 exemplaires seront vendus en France au total, pour 150 000 dans le monde.
Avec Amstrad et sa GX4000 c'était vraiment du foutage de gueule.
Au milieu des années 80 Amstrad connait un immense succès en Europe avec ses micro-ordinateurs de la gamme 8 bits CPC. Cependant ils vont vite être dépassés par la nouvelle vague 16/32 bits
(Atari ST et Amiga). En perte de vitesse, et face à la renaissance des consoles de jeux,
Amstrad décide alors de se lancer et sort une console de jeux... 8 bits... en 1990 ! Si si...
Ca sera la GX4000 ! Elle coutera 990F et sera accompagnée de 2 pads et du jeu Burnin' Rubbler. Amstrad y croit dur comme fer: un budget publicitaire de 200 millions de francs est prévu et ils pensent pouvoir vendre 200 000 consoles pour la fin 90.
La console 8 bits la plus nulle de l'histoire !
Une GX4000 c'est en fait un Amstrad CPC+ (deja complétement depassé en 1990 !) sans clavier... Ou si vous préférez un Amstrad CPC464 de 1984 avec quelques améliorations minimes:
32 couleurs parmi 4096, 16 sprites et un scrolling hardware ! Et bien sur toujours le fameux processeur Z80A et la fameuse définition graphique de 160x200 pixels !
Si vous aimez les "gros pixels" il vous faut absolument cette console !
Fin 1990 une console si faible techniquement fait vraiment un peu désordre et Amstrad perd toute sa crédibilité. De plus les jeux qui sortent ne montrent quasiment aucune différences avec l'Amstrad CPC de base. Nous sommes à peine au niveau de la NES (datant de 1983 !) qui offre même des graphismes plus fins et des jeux bien plus passionnants !
"High Performance Games Console" Vraiment très osé de la part de Amstrad !
A.M.Sugar (le patron de Amstrad) ira même jusqu'à déclarer vouloir battre SEGA,
la GX4000 étant selon lui au moins aussi puissante que la Megadrive ! Bien sur...
Sur certaines publicités on pourra même lire "L'arcade à domicile"...
Ils prenaient vraiment les joueurs pour des cons !
Que leur est-il passé par la tête ? Incompétence des dirigeants ? Certes, mais certains pensent aussi que Amstrad avait déjà décidé d'abandonner le monde de la micro-informatique et que la GX4000 n'était là que pour écouler les stocks de composants de la gamme CPC+.
Toujours est-il que c'est un BIDE complet et le début de la fin pour Amstrad. Moins de 15 000 consoles seront vendues en 6 mois. La console sera soldée à 690F mais ne décollera jamais.
40 000 exemplaires seront vendus en France au total, pour 150 000 dans le monde.
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Re: Jeux vidéo
Bon, y en a marre des consoles de merde hein
Cette fois, voici une vraie bécane qui en a fait bander plus d'un.
La Neo-Geo a fêter ses 20 ans en Avril 2010 (putain !! 20 ans déjà...)
La Neo-Geo AES (Advanced Entertainment System), est sortie le 26 Avril 1990 à la location
et en 1991 à la vente, conçue par la société japonaise SNK et qui a la particularité d'être techniquement identique au système d'arcade Neo-Geo MVS (Multi Video System) avec lequel elle partage une ludothèque commune. La console est connue pour sa ludothèque de jeu d'arcade 2D de très grande qualité, pour son prix très élevé et par sa longue longévité.
La console profite énormément du succès dans les salles d'arcade du système MVS,
essentiellement des jeux comme "Fatal Fury", "Art of Fighting", "Samurai Shodown" et plus tard la série des "King of Fighters", tous développés en interne par les studios SNK. Ces jeux extrêmement populaires dans les salles d'arcade du monde entier sont portés sur console trois mois après leur sortie en arcade dans des versions strictement identiques. On retrouve exactement les mêmes jeux sur sa console Neo-Geo que sur borne d'arcade, ce qui est unique à l'époque. Les ventes de console Neo-Geo décollent, et malgré les sorties fin 1994 des consoles de la PlayStation et de la Saturn, la Neo-Geo continue à se vendre auprès d'un public fidèle. La fabrication de la Neo-Geo stoppe en 1997, mais des jeux continue à sortir. Les développeurs vont tirer la quintessence du système avec des jeux de plus en plus aboutis, aux graphismes et animations en 2D supérieurs à ce que proposent les consoles de cinquième génération pourtant bien plus récente. Des jeux tels que
"Last Blade" (1997) ou "Garou: Mark of the Wolves" (1999) en sont la preuve, des jeux au prix toujours très élevé. Jusqu'à la fin de son activité la société SNK supportera la console Neo-Geo en continuant à sortir des versions AES de ses hits d'arcade Neo-Geo MVS avec
"The King of Fighters 2000" comme jeu d'adieu.
Alors que l'on pensait qu'il en était terminé de la Neo-Geo, la nouvelle société Playmore qui succède à SNK continuera à adapter les sorties en arcade sur MVS sur la console en relativement peu d'exemplaires. Neuf jeux sortent de 2001 à 2004. le dernier jeu officiel, "Samurai Shodown V Special" sort le 19 octobre 2004, 14 ans après le lancement de la console. Le système Neo-Geo est, avec l'Atari 2600 (1977 à 1991), le système le plus longtemps exploité de l'histoire du jeu vidéo, dépassant même la Game Boy.
Ses capacités 2D hors-normes, sa longévité, ses jeux et son prix en fait un objet de fantasme pour de nombreux joueurs. La Neo-Geo est souvent surnommée la Rolls Royce des consoles notamment par les magazines et les émissions TV de l'époque.
Cette fois, voici une vraie bécane qui en a fait bander plus d'un.
La Neo-Geo a fêter ses 20 ans en Avril 2010 (putain !! 20 ans déjà...)
La Neo-Geo AES (Advanced Entertainment System), est sortie le 26 Avril 1990 à la location
et en 1991 à la vente, conçue par la société japonaise SNK et qui a la particularité d'être techniquement identique au système d'arcade Neo-Geo MVS (Multi Video System) avec lequel elle partage une ludothèque commune. La console est connue pour sa ludothèque de jeu d'arcade 2D de très grande qualité, pour son prix très élevé et par sa longue longévité.
La console profite énormément du succès dans les salles d'arcade du système MVS,
essentiellement des jeux comme "Fatal Fury", "Art of Fighting", "Samurai Shodown" et plus tard la série des "King of Fighters", tous développés en interne par les studios SNK. Ces jeux extrêmement populaires dans les salles d'arcade du monde entier sont portés sur console trois mois après leur sortie en arcade dans des versions strictement identiques. On retrouve exactement les mêmes jeux sur sa console Neo-Geo que sur borne d'arcade, ce qui est unique à l'époque. Les ventes de console Neo-Geo décollent, et malgré les sorties fin 1994 des consoles de la PlayStation et de la Saturn, la Neo-Geo continue à se vendre auprès d'un public fidèle. La fabrication de la Neo-Geo stoppe en 1997, mais des jeux continue à sortir. Les développeurs vont tirer la quintessence du système avec des jeux de plus en plus aboutis, aux graphismes et animations en 2D supérieurs à ce que proposent les consoles de cinquième génération pourtant bien plus récente. Des jeux tels que
"Last Blade" (1997) ou "Garou: Mark of the Wolves" (1999) en sont la preuve, des jeux au prix toujours très élevé. Jusqu'à la fin de son activité la société SNK supportera la console Neo-Geo en continuant à sortir des versions AES de ses hits d'arcade Neo-Geo MVS avec
"The King of Fighters 2000" comme jeu d'adieu.
Alors que l'on pensait qu'il en était terminé de la Neo-Geo, la nouvelle société Playmore qui succède à SNK continuera à adapter les sorties en arcade sur MVS sur la console en relativement peu d'exemplaires. Neuf jeux sortent de 2001 à 2004. le dernier jeu officiel, "Samurai Shodown V Special" sort le 19 octobre 2004, 14 ans après le lancement de la console. Le système Neo-Geo est, avec l'Atari 2600 (1977 à 1991), le système le plus longtemps exploité de l'histoire du jeu vidéo, dépassant même la Game Boy.
Ses capacités 2D hors-normes, sa longévité, ses jeux et son prix en fait un objet de fantasme pour de nombreux joueurs. La Neo-Geo est souvent surnommée la Rolls Royce des consoles notamment par les magazines et les émissions TV de l'époque.
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Re: Jeux vidéo
Suite de l'historique de la Rolls Royce des consoles avec le modèle CD
Lancée le 9 Septembre 1994 au Japon par SNK, elle est basée sur l'architecture de la AES et du MVS, mais utilise des CD-ROM à la place des cartouches, ceci dans le but de réduire le prix de vente des jeux. Le lecteur CD-ROM fut à la fois son meilleur atout (les prix des jeux sont imbattable) et son principal défaut. En effet, sa vitesse de lecture de 1X associée à la faible quantité de RAM disponible, imposaient d'importants temps de chargement durant le jeu. Si les titres les plus anciens n'en souffraient que modérément, l'augmentation en taille des productions SNK contraignit rapidement le joueur à patienter de longues minutes avant chaque partie.
Il existe trois versions de la Neo-Geo CD:
La front loading:
C'est le tout premier modèle exclusivement distribué au Japon, sa taille est très impressionnante.
Le lecteur CD est à tiroir et se charge sur le devant de la console (d'où son nom). Elle est produite à 25.000 exemplaires pour le marché japonais. Une interface, imitation chaîne hi-fi est présente pour lire les CD de musique comme les musiques des jeux Neo Geo (ils sont en wav). Trop chère à la production, ce modèle est très vite remplacé par la version suivante. On notera la présence d'un seul bouton, l'alimentation, le tiroir s'ouvrant dans le menu de la console, et pas de bouton reset...
La top loading:
Le modèle principal distribué aussi en Europe et aux États-Unis. Un peu plus petite, elle est identique au niveau hardware du premier modèle et sort un mois plus tard en Décembre 1994.
Le Lecteur CD s'ouvre sur le dessus avec un capot mécanique (pas de moteur donc moins chère).
Sinon même interface, même durée des temps de chargement (hélas...). On remarquera que ce modèle est décliné pour l'exportation avec une version USA et Europe: elles intégrent une censure au niveau du sang (celui-ci devient blanc ou vert). En france le prix lors de son lancement était d'environs 3500 francs, incluant deux manettes et un cable RGB, les sauvegardes s'effectuant en interne grace a une pile...
La CDZ:
Peut-être le modèle qui aurait fait la différence si elle avait été faite plus tôt et mieux exportée...
Elle n'a en effet été commercialisée qu'au Japon en Décembre 1995. C'est la meilleure console de la série, plus petite, et plus puissante grâce à un lecteur 2X avec des taux de transfert passant de
300 ko/s au lieu de 150 ko/s, L'interface est également modifiée, elle est plus sobre et un petit encart permet de voir le titre du jeu qui est dans le lecteur.
Lancée le 9 Septembre 1994 au Japon par SNK, elle est basée sur l'architecture de la AES et du MVS, mais utilise des CD-ROM à la place des cartouches, ceci dans le but de réduire le prix de vente des jeux. Le lecteur CD-ROM fut à la fois son meilleur atout (les prix des jeux sont imbattable) et son principal défaut. En effet, sa vitesse de lecture de 1X associée à la faible quantité de RAM disponible, imposaient d'importants temps de chargement durant le jeu. Si les titres les plus anciens n'en souffraient que modérément, l'augmentation en taille des productions SNK contraignit rapidement le joueur à patienter de longues minutes avant chaque partie.
Il existe trois versions de la Neo-Geo CD:
La front loading:
C'est le tout premier modèle exclusivement distribué au Japon, sa taille est très impressionnante.
Le lecteur CD est à tiroir et se charge sur le devant de la console (d'où son nom). Elle est produite à 25.000 exemplaires pour le marché japonais. Une interface, imitation chaîne hi-fi est présente pour lire les CD de musique comme les musiques des jeux Neo Geo (ils sont en wav). Trop chère à la production, ce modèle est très vite remplacé par la version suivante. On notera la présence d'un seul bouton, l'alimentation, le tiroir s'ouvrant dans le menu de la console, et pas de bouton reset...
La top loading:
Le modèle principal distribué aussi en Europe et aux États-Unis. Un peu plus petite, elle est identique au niveau hardware du premier modèle et sort un mois plus tard en Décembre 1994.
Le Lecteur CD s'ouvre sur le dessus avec un capot mécanique (pas de moteur donc moins chère).
Sinon même interface, même durée des temps de chargement (hélas...). On remarquera que ce modèle est décliné pour l'exportation avec une version USA et Europe: elles intégrent une censure au niveau du sang (celui-ci devient blanc ou vert). En france le prix lors de son lancement était d'environs 3500 francs, incluant deux manettes et un cable RGB, les sauvegardes s'effectuant en interne grace a une pile...
La CDZ:
Peut-être le modèle qui aurait fait la différence si elle avait été faite plus tôt et mieux exportée...
Elle n'a en effet été commercialisée qu'au Japon en Décembre 1995. C'est la meilleure console de la série, plus petite, et plus puissante grâce à un lecteur 2X avec des taux de transfert passant de
300 ko/s au lieu de 150 ko/s, L'interface est également modifiée, elle est plus sobre et un petit encart permet de voir le titre du jeu qui est dans le lecteur.
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Re: Jeux vidéo
pour ma part, je joue sur ps3 et 360 a des jeux comme:
alan wake, metro 2033, splinter cell conviction, uncharted 1 et 2, demon's souls, call of 6...
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Re: Jeux vidéo
Tu as les deux extensions de GTA4 sur PS3 ?
On pourra se taper des délires si tu joue en multi
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Re: Jeux vidéo
non, gta 4 ne m'a pas emballé, mais du même éditeur j'ai red dead redemption qui est novateur...
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